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LES CHIFFRES CLÉS

LES EFFETS DE LA PRODUCTION DE VIANDE

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LES EFFETS DE LA CONSOMMATION DE PRODUITS D’ORIGINE ANIMALE

LES EFFETS DE LA PRODUCTION DE VIANDE

En France, trois millions d’animaux terrestres sont tués chaque jour dans les abattoirs après une courte vie de souffrances... Cette production industrielle massive a de lourdes conséquences sur la santé de notre planète et sur ses habitants.

1. RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE

Les produits d’origine animale ont une empreinte carbone extrêmement importante. Voici les émissions de gaz à effet de serre par kilogramme d'une sélection d'aliments et de boissons (en kg d'équivalent CO2).

graphique des émissions de GES pour les produits d'origine animale

Les protéines végétales peuvent être jusqu’à 60 fois moins émettrices de GES que les produits animaux (Poore et Nemecek, Science, 2018)¹.

graphique de l'empreinte carbone de la production de protéines végétales
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2. CONSOMMATION D’EAU

En France, 58 % de l’eau consommée est liée à la production de nourriture et surtout de produits d’origine animale (Mekonnen et Hoekstra, Ecosystems, 2012)².

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3. BIOMASSE TERRESTRE

La proportion des animaux destinés à la consommation humaine ne cesse de croître pour représenter aujourd’hui des proportions complètements folles (Bar-On et al., PNAS, 2018)³.

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MAMMIFÈRES TERRESTRES
OISEAUX

4. ANIMAUX D'ÉLEVAGE

En France, 80 % des animaux abattus sont détenus en élevage intensif.

Ils sont entassés dans des cages, enclos, bâtiments ou bassins fermés, pour la majorité sans aucune limite de densité, et n'auront jamais accès à l'extérieur avant d'être envoyés dans les abattoirs... (L214, 2021)

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animaux en élevages intensifs en France

5. FINANCES PUBLIQUES

L’élevage est une activité lourdement subventionnée. D’après le Ministère de l’Agriculture, 90 % des exploitations de vaches « à viande » et 40 % des élevages de vaches laitières auraient un résultat avant impôt négatif sans les aides publiques (Agreste, 2017).

Moyenne des subventions perçues annuellement par type d’élevage (2016)

graphique des aides de l'état pour l'élevage en France
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LES EFFETS DE LA CONSOMMATION DE PRODUITS D’ORIGINE ANIMALE

En 2023, un Français mangeait en moyenne 85,2 kg de viande (Agreste, 2023). Contrairement aux idées reçues, la consommation de viande ne cesse d’augmenter et elle a un impact majeur sur notre planète et notre santé !

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6. SUR LA PLANÈTE

L’élevage pollue ! Il produit d’importantes quantité de nitrates, responsables de l’eutrophisation des milieux aquatiques notamment, d'ammoniac, responsable des pluies acides, et d’autres sources de pollutions des sols et des eaux.

graphique de la pollution de la planète par l'élevage

Si l’humanité optait pour une alimentation végétale, cela entraînerait :

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7. RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE

Passer d’un régime omnivore classique à une autre alimentation permet de réduire considérablement ses GES.

 

L’action individuelle la plus efficace pour préserver notre planète, c'est opter pour une alimentation végétale !

Réduction des GES en %

graphique des émissions de GES par régimes alimentaires
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8. ACCAPAREMENT DES TERRES

Aujourd’hui, les 3/4 des terres agricoles mondiales sont dédiées à l’élevage et à l'alimentation des animaux (Peters et al., Elementa, 2016)⁹.

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1 hectare
pour nourrir un Flexitarien

0,13

hectare

0,22

hectare

9. ÉPIDÉMIES

60 %

des agents pathogènes humains sont d’origine animale

75 %

des agents pathogènes émergents sont d’origine animale 

75 %

des maladies animales émergentes peuvent nous contaminer

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Sources

[1] J. Poore et T. Nemecek, Reducing food’s environmental impacts through producers and consumers., Science, 360, 987-992 (2018).  

[2] M. M. Mekonnen et A. Y. Hoekstra, A Global Assessment of the Water Footprint of Farm Animal Products, Ecosystems, 15, 401-415 (2012).  

[3] Y M. Bar-On, R. Phillips, et R. Milo, The biomass distribution on Earth, Proceedings of the National Academy of Sciences, 115 (25), 6506-6511 (2018).  

[4] L214 - compilée des données Agreste, Dossier : les chiffres clés de la souffrance animale. Élevage intensif : plus de 8 animaux sur 10 en France (2021b).  

[5] Agreste, « Les Résultats économiques des exploitations agricoles en 2016 », rapport présenté à la Commission des comptes de l’agriculture de la Nation, p. 17. (2017).  

[6] Agreste et FranceAgriMer, Synthèse conjoncturelle n°412, La consommation de viandes en France en 2022 (2023).  

[7] J. Poore et T. Nemecek, Reducing food’s environmental impacts through producers and consumers., Science, 360, 987-992 (2018). 

[8] Frédéric Mesguich, “Conférence Alimentation Soutenable - Naturel, extensif et peu transformé - Faire la part entre mauvaises intuitions et solutions "low tech" pour l'agroalimentaire”, p. 39 - Données issues des études Aström S. et al., 2013 et Foodwatch, 2008 (2023). 

[9] C. J. Peters, J. Picardy, A. F. Darrouzet-Nardi et al., “Carrying capacity of U.S. agricultural land: Ten diet scenarios”, Elementa: Science of the Anthropocene, 4, 000116 (2016). 

[10] Ministère de l’Agriculture, « Zoonoses émergentes et réémergentes : enjeux et perspectives », Centre d’études et de prospectives, Analyse n° 66, Madeleine Lesage (2014). 

1 - Poore Science
2 - Mekonnen Ecosystems
3 - Bar-On Proceedings
4 - L214
5 - Agreste
6 - Agreste
7 - Poore Science
8
9 - Peters Elementa
10 - Ministère de l'agriculture

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